Archipel des Australes


A plus de 600 km au sud de Tahiti, sur le Tropique de Capricorne, l'archipel des Australes est formé par cinq iles: Rurutu, Rimatara, Tubuai, Raivavae et Rapa Iti. C'est l'archipel le plus méconnu de Polynesie française, mais non pour ça moins attractif: ce sont des îles sauvages et traditionelles.

Les Australes furent les dernières îles polynesiennes à être colonisées, entre le XI et le XIV siècle. Par sa localisation, le plus meridionel de tous les archipels, les îles se caracterissent par un climat plus frais que celui du reste de Polynesie, grace auquel ces îles sont très fertiles.

Il n'y a pas des hôtels, seulemnt des pensions de famille.

Rurutu est appellé souvent 'l'île aux baleines': pour la présence des baleines à bosse, que viennent chercher le calme dans ses eaux, à quelelques dizaines de mètres de sa côte, entre le mois de juillet à octobre. C'est aussi une île très verdoyant, aves plusieurs grottes, et une centre important de l'artisanat locale.

Rimatara abrite une espèce d'oiseau endémique rare, le lori de Kuhl. Tubuai a une jolie lagon, et fut partie d'une des chapitres du mutinés du Bounty.

Raivavae, avec un lagon si jolie comme cela de Tubuai, c'est l'une de plus belles, mais plus meconnus, îles de Polynesie française. Et Rapa iti (la petite Rapa, soeur petite de Rapa Nui), c'est l'île plus reciulé et isolé de toutes.


Gambier


Les Gambier, à plus de 1.700 km au SE de Tahiti, c'est l'archipel plus lointaine de tous. Situé dans le prolengement sud-est des Tuamotu, il est composé d'îles hautes, très nature, qui forment un jolie lagon. La plus grande île et la seule habitée de façon permanent c'est Mangareva, les autres îles hautes du group sont Aukena, Akamaru y Taravai.

Pendant quelques décennies du XIX siècle l'archipel fut le fief du Père Laval, qui bâttisait des imposants cáthedrales sur quelques îles. Aujour'hui, en plus de son attractif naturel, encore intact, les Gambier sont aussi une important centre de culture de la perle noire.

Les Gambier ont un langage propre (-le mangarevien, plus proche du maori que du tahitien-) et des danses particuliers.